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7 juin 2009 7 07 /06 /juin /2009 01:11








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18 mai 2009 1 18 /05 /mai /2009 09:10



Si vous avez raté le début (de la série)...

Le vol 815 de la compagnie aérienne Oceanic Airlines se scinde subitement en deux dans les airs et s'écrase sur une île mystérieuse du Pacifique Sud. Les 40 survivants s'organisent alors, en attendant d'hypothétiques secours.
Mais les lieux vont révéler d'étranges phénomènes et les rescapés vont rapidement se rendre compte qu'ils ne sont pas seuls sur l'île...

La saison 5 en histoire

Alors que Jack, Kate, Hugo, Sayid et Sun ont pu rentrer chez eux avec le lourd secret d'avoir laissé les autres survivants du crash sur l'île, ces derniers doivent gérer les allers et venues dans le temps, conséquences du déplacement de l'île opéré par Benjamin Linus. Trois ans après ces évènements, Jack et Ben organisent la réunion des "Oceanic 6", dans le but de retourner sur l'île et sauver Sawyer et les autres...







Mon avis sur la saison 5


Après une excellente saison 4 marquée par le sauvetage de certains survivants, cette nouvelle saison était très attendue par les fans, d'autant plus qu'elle prépare le dénouement de la série dans une ultime saison 6 prévue pour janvier 2010.
Nouveauté dans le déroulement de l'histoire, l'action se situe parallèlement dans plusieurs époques ce qui permet une multitude d'ouvertures dans le scénario et offre de quoi alimenter un peu plus les théories qui fleurissent sur le net depuis la première saison.

Même si l'ensemble de la saison est assez inégal, notamment à cause de quelques passages assez longs et d'un retour sur l'île, par contre, un peu trop rapide, force est de constater que les scénaristes préparent une saison 6 d'avance captivante en donnant des éléments de réponses à certaines vieilles interrogations.

Ainsi, on en sait davantage sur l'Initiative Dharma et les conséquences de ses travaux sur l'île, sur les Autres et l'évolution de Ben avant et après être devenu l'un d'entre eux, sur l'arrivée de Danielle Rousseau sur l'île (excellent épisode 5) et enfin sur le mystique Jacob dont un important "centric" est consacré dans le double épisode du season final.

Les dernières minutes, fortes en émotions et en révélations, sont d'autant plus cruelles qu'elles laissent le téléspectateur (ou l'internaute) dans une expectative de 7 mois !!!
Le buzz Lost n'a pas fini de faire écrire sur le net.
D'ici là et pour mieux appréhender la dernière ligne droite, je me laisserai bien tenter par un marathon de 103 épisodes, afin de saisir parfaitement toutes les subtilités d'une histoire qui se tient de bout en bout.
Chapeau bas aux scénaristes car garder une telle cohérence dans les faits montre une belle maîtrise de leur histoire.

A l'instar de Twin Peaks par exemple, Lost oblige à la réflexion et c'est là tout le mérite de la série.





A lire aussi...

Last Lust... LOST !



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23 avril 2009 4 23 /04 /avril /2009 19:23



Si vous avez raté le début (de la série)...


Dillon est une petite ville du Texas qui ne vit que pour une chose: son équipe de football américain, les Dillon Panthers.
Mais au delà des joies que procurent les victoires de ses favoris, Dillon est une ville qui vit en plein récession et les jeunes y voient difficilement une porte de sortie...

La saison 3 en histoire

La nouvelle saison de football s'apprête à démarrer.
Après les désillusions de la fin de saison dernière et la blessure de Smash Williams, la position de Coach Taylor est devenue fragile et son aura d'entraîneur hors pair est remise en question.
Mais l'arrivée d'un gros sponsor avec un jeune quaterback prometteur dans ses valises va redonner des ambitions à la ville qui rêve d'un nouveau sacre...






Mon avis sur la saison 3


La nouvelle saison de Friday Night Lights est une pure merveille, passionnante tout au long de ses treize épisodes.
Même si le rythme n'est toujours pas celui d'un 24 et les cliffs loin d'être vertigineux, on ne s'ennuie pas une seule seconde et les épisodes d'un durée de 42 minutes défilent vitesse grand V.
Les nouveaux personnages ont parfaitement intégré l'histoire et certains, devenus récurrents au fil des épisodes, ont eu une sortie digne de leur apport dans la série.

Friday Night Lights
peut se vanter de survivre grâce à sa qualité générale.
Car on ne peut pas dire que les audiences sur NBC des précédentes saisons, pourtant remarquables, aient été à la hauteur.
Mais le succés critique a convaincu les décideurs de la chaîne américaine de laisser sa chance à la série en vendant la diffusion de celle-ci, en octobre 2008, à la chaîne câblée Direct TV, avant de la rediffuser sur leur antenne en janvier.
Ce qui a satisfait tout le monde puisque deux nouvelles saisons viennent d'être commandées, pour le plus grand bonheur de Mamy Lakhdah, véritable accroc à la série.

Alors quid de la quatrième saison ?
La dernière séquence de cette saison 3 offre de nouvelles perspectives très intéressantes.
Seul bémol, la série va encore connaître un exode à dose homéopathique de ses jeunes stars vers le grand écran.
Et oui, la qualité a aussi ses inconvénients.





A lire aussi...

Une saison de télé: 2006/2007




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26 mars 2009 4 26 /03 /mars /2009 05:00





J'ai décidé de noter, épisode par épisode, quelques séries du moment.

J'essaierai de mettre à jour tout ça le plus régulièrement possible et à la fin de chaque saison, je donnerai un avis un peu plus exhaustif.
Je ne reviens pas sur les saisons passées car il me faudrait des journées de 50h pour tout revoir !

Si vous avez des commentaires à faire, n'hésitez pas !



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17 mars 2009 2 17 /03 /mars /2009 07:43



Si vous avez raté le début (de la série)...

Expert en analyse de traces de sang dans la police le jour, tueur en série la nuit, Dexter Morgan n'est pas exactement un citoyen américain comme les autres. Il porte, en effet, un lourd secret. Traumatisé dans sa plus tendre enfance puis recueilli par un officier de police de Miami, il se dit incapable de ressentir la moindre émotion. Incapable... si ce n'est lorsqu'il satisfait les pulsions meurtrières que son père adoptif lui a appris à canaliser : de fait, Dexter ne tue que les autres tueurs qui sont parvenus à échapper au système judiciaire, afin de protéger les innocents. Dexter se pose donc comme un véritable justicier de l'ombre, et bien que sa soif de tuer lui pèse, il parvient à mener une existence relativement normale et à sauver les apparences auprès de ses collègues, amis et petite amie.


La saison 3 en histoire

En tentant de piéger sa nouvelle victime, un trafiquant de drogue surnommé "Freebo", Dexter tue accidentellement le jeune frère de Miguel Prado, un assistant procureur de district.
Le meurtrier présumé par les autorités est Freebo et Dexter le retrouve et le tue.
Il est surpris, après-coup, par Miguel avec des preuves incriminantes et ce dernier remercie Dexter.
Une profonde amitié débute ainsi entre les deux hommes.


Mon avis sur la saison 3

Encore une fois, Dexter réalise là le crime parfait avec une saison remarquable en tout point.
A l'instar de la précédente saison avec Lila,  l'amitié entre Dexter et Miguel va conduire le tueur en série dans une situation inextricable et c'est tout l'intérêt de la série. Car il est de plus en plus difficile pour lui de gérer sa vie de tous les jours - et les nouvelles rencontres qu'il fait - avec son activité de prédateur de criminels qui sont passés entre les mailles du filet de la justice.
Cette nouvelle saison, marquée par la relation entre Dexter et Miguel, prépare notre tueur à un changement radical dans sa vie privée (mariage puis paternité) qui augure d'une suite passionnante. Culte !

A lire aussi...

Une saison de télé: 2006/2007
Dexter, saison 1



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17 janvier 2009 6 17 /01 /janvier /2009 23:06



Pourquoi faire un article sur Lost alors que j'ai déjà sévèrement balancé sur cette série américaine ?
Masochisme ou seconde chance ?
En fait, pour tout vous dire, vivre sur une île m'a donné l'envie de regarder une série avec des cocotiers, de grands espaces verts et des ours polaires.
Oui, ça peut paraître bizarre mais Tahiti aiguise la motivation de rencontrer un jour un ours polaire, lui taper dans le dos et lui dire "Tu sais Baloo, t'en as de la chance de te peler les nouilles par -30°C !"
Bref, réunir ces trois conditions ne m'a pas trop laisser le choix: Lost.




Avec ma nouvelle tolérance de circonstance (qui habite l'homme des îles), c'est sans trop de mal que j'ai commencé à me replonger dans les méandres temporels de cette série et, force est de constater qu'une fois passée la première saison "Monter son meuble TV en 10mn chrono" mais en mode "Pépère pieds en l'air", l'histoire devient haletante et il est difficile de décrocher. Non, non, je suis sobre... hips !

Alors "Oui, pardon à toi, Ô grand fan de Lost que j'ai pu blesser en tailladant au cure-dents les abus scénaristiques, les flashbacks ennuyeux et les tenants sans les aboutissants d'une série pour le moins longue à se mettre en place."


Pourquoi ce revirement si soudain ?
Tout simplement parce que Lost ne mérite pas que l'on s'arrête à son hésitante première saison.
Regarder la suite donne forcément envie d'en savoir plus sur cette étrange trappe, ce compte à rebours qu'il faut réinitialiser toutes les 108mn, ce mystérieux prisonnier au regard "5h non stop de Questions pour un Champion", ces habitants inquiétants et surtout cette série de chiffres qui revient encore et toujours (inutile de les jouer au Loto, il y a déjà eu un gagnant...).
Regarder sa deuxième saison c'est se donner naturellement l'envie de voir la troisième puis la quatrième et bientôt la cinquième et avant dernière saison qui sera diffusée aux US à partir du 21 janvier.
Au final, on oublie vite les toujours aussi grosses invraisemblances d'ordre technique (même pas chaud...) et les flashbacks, autrefois insipides, font vraiment avancer l'intrigue.
Après avoir englouti 3 saisons sans sourcilier, je ne suis toujours pas rassasié et j'attends la suite avec une impatience difficile à contenir. "C'est grave, Docteur (Shephard) ?"



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16 juin 2007 6 16 /06 /juin /2007 15:26





L'heure du bilan a sonné pour les séries américaines !
Il est temps de dresser un petit bilan rapide sur la saison 2006/2007 de quelques séries que j'apprécie depuis quelques années ou découvre depuis septembre dernier.
Alors que valent la nouvelle journée en enfer de Jack Bauer et l'évasion de Scofield and Co ?
Et que nous ont réservé les scénaristes du petit écran américain de particulièrement palpitant ?
Réponses... pour quelques séries.



  Saison 6

Quelle déception !
Après une saison 5 de haute volée mêlant complot politique et terrorisme, 24 nous revient en très petite forme mais avec de nouvelles attaques terroristes encore plus impressionnantes.
Sûrement trop même puisque les nouvelles aventures de Jack Bauer n'ont jamais été aussi ennuyeuses et peu crédibles.
Entre des personnages qui ne servent absolument à rien, des situations qui prêtent plus à sourire qu'à trembler et un cliff de fin vraiment pas terrible, cette saison 6 flirte de très près avec la médiocrité et l'ennui de la saison 3, c'est dire !
Heureusement, les producteurs qui, depuis quelques années déjà ont eu maintes fois l'occasion de recycler le concept de la série, ont pris conscience de l'ampleur de la déception chez les fans et promettent du changement pour la saison 7. 
Il était temps !

Les télespectateurs français pourront découvrir cette sixième journée de labeur de l'ami Jack en décembre prochain sur Canal+ alors que la saison 7 sera diffusée aux Etats Unis lors de la midseason en janvier sur la FOX.







  Saison 1

Ce cher Dexter cache bien son jeu.
Sous cette enveloppe angélique de jeune trentenaire bien sous tous rapports se cache l'esprit apathique d'un serial killer qui tue pour rendre justice à ceux qui y ont échappé.
Adaptée d'un roman de Jeff Lindsay et composée de douze épisodes d'un peu moins d'une heure, Dexter a été l'une des révélations de la télévision câblée américaine, réalisant des scores d'audience records sur Showtime.
Michael C. Hall, anciennement thanatopracteur dans Six Feet Under, campe formidablement ce médecin-légiste de la police de Miami. 
En attendant une saison 2 prévue pour la rentrée aux Etats Unis, avec, on l'espère, une intrigue aussi passionnante et un Dexter toujours aussi mystérieux, les télespectateurs français peuvent voir actuellement sur Canal+ les manies compulsives du gentil vilain, fan de la couleur rouge du sang de ses victimes....







  Saison 1

Entre Dillon et les Panthers, c'est une grande histoire d'amour.
Les habitants de cette petite ville du Texas vivent au rythme des victoires de leur équipe de footballers américains. La nouvelle saison du championnat commence avec nombre d'incertitudes mais tout le monde est confiant et croit en la victoire finale. 
L'histoire de cette nouvelle série de la chaîne NBC tourne autour du football américain mais n'est en aucun cas une série sur le football américain. On assiste bien à quelques séquences de matchs et d'entraînements ou à des mises en place de tactiques et de combinaisons propres à ce sport mais rien de trop complexe pour le novice.
Friday Night Lights est surtout une série dramatique sur les joies et les peines des habitants de Dillon, leurs craintes et espoirs pour l'avenir.
Ici pas de scènes d'action, pas de morts à chaque coin de rue, juste quelques bouts d'histoire de vie. Même si le patriotisme et la religion sont souvent omniprésents dans la série, on peut dire que FNL est une totale réussite, servie par de très bons acteurs.

Une des grandes révélations de la saison, au succés critique certain et renouvelée l'année prochaine malgré des scores d'audience relativement moyens. Go Panthers !





  Saison 1

Cette série post-apocalyptique est en passe de devenir culte. Non seulement elle est passionnante (voir article) mais en plus il s'en est fallu d'un rien pour quelle disparaisse l'année prochaine des grilles de programmes de la chaîne CBS...
La faute à des scores d'audience moyens, comme d'habitude. Malgré une histoire captivante, avait-il pu en être autrement face à un lamentable American Idol qui avait l'habitude de réunir chaque mercredi soir près de trois fois plus de télespectateurs ?
Quoi qu'il en soit, la mobilisation des fans a fini par payer.
Jugez plutôt: pétitions sur le net, achat de pleines pages dans le Variety et Hollywood Reporter pour exprimer le mécontentement et mieux encore, plus de 20 tonnes de cacahuètes (environ 50 000 $) commandées et envoyées via ce site à CBS en référence au "Nuts !" du personnage principal (interprété par Skeet Ulrich, le tueur de Scream), en réponse au maire de la ville voisine dont l'intention est d'annexer la ville de Jericho.

Ainsi sept nouveaux épisodes ont été commandés dans un premier temps pour la midseason en janvier 2008.
Enfin, petite anecdote: lors de l'annonce du retour de la série, la Présidente de la chaîne a demandé de ne plus recevoir de cacahuètes... Jericho sera diffusée, si tout va bien, à la fin de l'année sur M6.







  Saison 1

Une des révélations incontestables de cette année, Heroes redore le blason du genre fantastique, un peu terne depuis quelques années. 
Loin des aberrations lostiennes (envoyez Jack Bauer sur cette île qu'il décante une bonne fois pour toutes cette situation sans fin !!!) et des X-Men, cette série addictive est construite sur une intrigue assez complexe où les destins de jeunes adultes très ordinaires mais dotés de pouvoirs surnaturels (voler, entendre les pensées, peindre l'avenir, se regénérer ou manipuler l'espace/temps...) s'entrecroisent.
Si rien n'est fait, la fin du monde tel qu'on le connait sera proche et tous ces individus un peu partout dans le monde (mais principalement chez l'Oncle Sam) vont prendre conscience qu'ils peuvent éviter ce cataclysme en joignant leurs forces contre le mal incarné par Sylar, un jeune homme avide de pouvoirs.
Vite la suite, en septembre sur NBC !

Les français devraient rapidement succomber à la qualité indéniable de cette série à partir du mois de juillet sur TF1. Yataaaaa !







  Saison 2

Quand Prison Break devient Manhunt ("chasse à l'homme" en franchouais)...
Comme on pouvait le craindre, la saison 2 de Prison Break n'aura pas été aussi brillante que la première et bien moins captivante.
La faute à un scénario pauvre, particulièrement tiré par les cheveux, aux rebondissements mous et improbables limite risibles (il n'y a pas que dans Star Trek que les personnages se téléportent...), qui traîne en longueur sur 22 épisodes et un contexte relativement banal qui fait perdre à la série son attrait original.
Les ultimes secondes de cette saison très décevante laissent entrevoir une suite (la dernière probablement) que l'on souhaite salvatrice pour la série de la FOX.
A moins que les scénaristes poussent la supercherie un peu plus loin et cassent définitivement un concept presque culte... 
Réponse fin août aux Etats Unis.
En attendant, Prison Break 2.0 sera diffusée à la rentrée sur M6.







 Saison 2 

Sleeper Cell est une de ces séries de qualité quasi inconnues en France. D'ailleurs, la saison 1 est passée presque inaperçue sur TPS Star l'année dernière. Bref, pour cette saison 2, Darwin Al Fayed, l'agent du FBI de confession musulmane, intègre une nouvelle cellule sormante d'Al Qaïda pour déjouer ses plans d'attentat.
Diffusée sur la chaîne câblée Showtime durant une semaine au mois de décembre dernier, elle n'a fait que confirmer tout le bien qu'on pensait d'elle malgré le petit nombre d'épisodes (huit).
Comme je l'avais écrit précédemment sur ce blog, Sleeper Cell n'a pas grand chose à voir avec 24, le maître de l'anti terrorisme. Ici, le personnage principal est loin d'être le rejeton de James Bond et de Rambo et les situations paraissent crédibles.
D'où l'immersion procurée par la série dès les premiers instants.
Pour cette saison 2, le casting a forcément beaucoup changé mais en rien en qualité et c'est avec grand plaisir qu'on peut y retrouver Oded Fehr

A signaler aussi la présence au générique du franchouais Saïd Tagmaoui dans un rôle... de méchant. Mais ne vous y détrompez pas: l'habit ne fait pas le terroriste. 
   






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13 juin 2007 3 13 /06 /juin /2007 20:30

Access Prime:

Bottle Show: épisode d'une série se déroulant dans un unique décor.

Cliffhanger:

Climax:

Cross-over:

Daytime Soap:

Drama:

Emmy Awards:

Flashback:

Formula Show:

Gimmick:

Guest Star:

Midseason:

Night-Time Soap:

Pilot:

Prequel:

Prime Time:

Regular Characters:

Saga Sell:

Season:

Season Final:

Season Premiere:

Sitcom:

Spin-off:

Spoiler:

Stand-alone:

Sweep:

Teaser:



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14 avril 2007 6 14 /04 /avril /2007 10:15

Après le dernier épisode de la saison 2 et avant de découvrir une troisième (et ultime ?) saison diffusée fin août aux Etats Unis, il est temps de tirer un bilan sur Prison Break, une série probablement victime de son succés.

Alors que la saison 1 de Prison Break nous présentait une magnifique machine huilée, quasiment sans accroc (on oubliera quand même l'épisode 15 où Scofield arrive à sortir de prison pour se rendre le plus tranquillement du monde dans l'aile psychiatrique puis se brûle sévèrement au 15ème degré sans broncher derrière un gardien "mal placé"), force est de constater que la nouvelle a eu besoin de beaucoup d'anti-rouille pour faire passer en travers de la gorge des télespectateurs les incohérences et autres facilités grossières servies sur un plateau doré.


      

Les tatouages de Scofield étaient un alibi en béton pour des scénaristes en quête de rebondissements dans cette histoire d'évasion. Malheureusement et logiquement d'ailleurs, ils ne servent pratiquement plus à rien dans la suite des aventures. Place donc à l'improvisation pour notre héros au regard de braise.
Pas évident me direz vous ? A peine !

Car, histoire de préserver le suspense tout au long des 22 épisodes de la saison 2, les concepteurs de la série ont fait fi de toute rationalité du temps, de l'espace et des évènements qui s'y passent.

Ainsi, il n'est pas étonnant de retrouver un personnage au bon lieu et au bon moment, de passer outre une certaine logique judiciaire, de découvrir au fil des épisodes un agent du FBI redoutablement trop intelligent (Madame Irma ?) et en gros de faire face à d'innombrables facilités telles, que l'on a l'impression de résoudre une énigme avec la solution.

Tout coule de source et à trop tirer sur la corde de l'indulgence des télespectateurs, les scénaristes ont réussi à décrédibiliser leur série. Il n'y a donc rien d'étonnant à ce que Prison Break ait perdu 1 million de fidèles américains entre le premier et le dernier épisode de cette saison (8 millions).

Alors bien entendu, tout ceci n'est pas propre à Prison Break, bien d'autres séries au rythme soutenu passent par des raccourcis souvent maladroits afin d'éviter toute complexité scénaristique lourde pour le télespectateur mais il faut bien avouer qu'avec cette saison 2 de Prison Break, on atteint des sommets du ridicule.

Ceci dit, tout n'est pas noir, on passe tout de même de bons moments et le cliff du dernier épisode annonce une suite intéressante même si, encore une fois, on peut s'interroger sur la crédibilité du scénario notamment sur le rôle donné à La Compagnie dans cette prochaine saison 3.

Quoi qu'il en soit, on attendra patiemment les premiers épisodes de sa suite prévus pour le 29 août aux Etats Unis pour avoir un début de réponse. Rachat espéré ou achèvement total d'une ex série prometteuse ?


Autres articles sur Prison Break

04/12/2006     Un break pour Prison Break (saison 2 épisode 13)
28/07/2006     Carte "Sortie de prison" 



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8 avril 2007 7 08 /04 /avril /2007 23:10



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